Hamac à barre L Deluxe « Masaya »

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Hamac à barre L Deluxe « Masaya » : Tout le luxe d'un hamac

Ce hamac fait partie de nos meilleures ventes. En fait, chaque année, nous devons en recommander davantage. C'est une très bonne nouvelle pour nous, mais certains clients doivent attendre notre réapprovisionnement. Comme nous en faisons deux fois par an, il est possible qu'ils attendent un peu. Nous espérons que cette année, nos prévisions de stock correspondront à la demande. Croisons les doigts.

Une exclusivité Hamac del Sol 

La fabrication artisanale du Hamac à barre L Deluxe « Masaya » implique un processus détaillé et méticuleux qui peut prendre plusieurs jours. Nous sommes les seuls à proposer ce type de design, donc c'est un hamac que vous ne retrouverez que chez Hamac del Sol.

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100% fait main : Un processus de fabrication transmis de génération en génération

Tout d'abord, les artisans torsadent leur coton à l'aide d'une roue en bois, pour solidifier les fils qui constitueront le corps du hamac. Les fils sont ensuite soigneusement enroulés autour d'un métier à tisser, souvent en bois, pour créer la base du hamac. L'homme est souvent à la manœuvre de ce travail de tissage, même si il est vrai que de plus en plus de femme se forme à cette activité.

Le tissage des franges  :  Un travail exclusivement féminin

De notre expérience, nous avons toujours observé que les femmes sont celles qui pratiquent le tissage des franges (ou "los flecos", comme ils les appellent localement). Les femmes artisanes sont expérimentées dans ce domaine. Elles tissent aussi bien des franges traditionnelles que des franges luxueuses, en utilisant une technique transmise traditionnellement au sein de la famille plutôt qu'apprise à l'école. Cette étape est souvent considérée comme la plus importante, car les franges ajoutent une touche élégante et caractéristique au hamac.

Le travail d'assemblage : Assembler le lit du hamac aux franges

Après avoir terminé le tissage des franges, les artisans passent à la finition du hamac. Cette étape implique d'attacher les franges au lit du hamac, ainsi que d'incorporer les barres en bois et les ornements en bois. Les barres en bois sont solidement fixées au hamac par des nœuds solides afin de le renforcer. Enfin, le hamac est soigneusement lavé et séché pour le rendre propre et doux au toucher.

La durée de fabrication d'un hamac à barre du Nicaragua

Le temps de travail nécessaire pour fabriquer un hamac varie en fonction de sa taille et de sa complexité. En général, un hamac standard peut prendre de deux à cinq jours pour être fabriqué, mais  notre Hamac à barre L Deluxe « Masaya » peut prendre jusqu'à une semaine ou plus. Le temps exact dépend également du nombre d'artisans travaillant sur le projet, de leur expérience et de leur niveau de compétence.

Les peuples du Nicaragua avant la colonisation

Les traces les plus anciennes d’occupation humaine connues remontent à 6’000 ans avant notre ère. Il est possible de les visiter à Managua huellas de Acahualinca. Peu avant la conquête espagnole, plusieurs groupes amérindiens sont répartis dans le pays. Ils sont très nombreux. Les principaux sont :

Les Miskitos habitent le long de la côte des Caraïbes, de chaque côté du rio Coco, qui fait office de frontière entre le Nicaragua et le Honduras.

Les Sumus (ou Mayangnas) résident également sur la côte caraïbe, plus au sud que les Miskitos.

Les Ramas, quant à eux, habitent dans cette même région.

Les Matagalpas se trouvent dans le centre du pays. Les Chorotegas vivent dans la bande côtière entre le lac Nicaragua et l'océan Pacifique. Ils parlent la langue nahuatl, similaire à celle des Aztèques. Les Espagnols ont souvent établi leurs villes à proximité des villes indigènes, telles que Masaya, Granada, Leon Viejo et Leon, Managua, Diriamba, etc. On estime que la population chorotega atteignait environ 2 millions d'habitants sur la plaine du Pacifique à l'arrivée des conquistadors. Au cours des premières décennies de la colonisation, environ 500 000 Chorotegas ont été déportés comme esclaves vers les mines du Pérou. Les sites religieux et les temples ont été détruits par les colonisateurs, et tous les codex (livres) ont été brûlés.

Les Garifonas, qui vivent près de Bluefields, sont des descendants d'anciens esclaves qui ont réussi à s'échapper. Ils parlent la langue des Indiens Caraïbes, avec des influences de l'espagnol, de l'anglais et de diverses langues africaines.

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